Technicien préparateur de ski au sein de l’Équipe de France de ski de fond, Gaël Epp est actuellement à Pékin. Depuis le site Olympique, le jeune sportif de Grendelbruch nous raconte son quotidien.
Mercredi 16 février, il est 21 heures à Pékin, Gaël Epp retrouve son hôtel (à Zhangjiakou à 200 km de la capitale) pour profiter d’une nouvelle nuit de repos avant de retourner au stade olympique pour un rituel qu’il vit maintenant au quotidien depuis le 26 janvier. Un mois dans ce pays d’Asie où la température actuelle oscille entre -20° et -10°, mais le jeune Bas-Rhinois n’en a cure. « J’ai déjà connu le grand froid en Finlande en début d’année, du coup je m’y habitue ». Les rigueurs de l’hiver, il connaît même s’il a rarement affronté des températures aussi basses dans son village de Grendelbruch.
Quant au ski, « je baigne dans le ski de fond depuis tout petit. Grâce à mon père Dominique, biathlète et entraîneur de biathlon français, qui a fait partie de l’équipe de France de 1981 à 1991 », rappelle-t-il.
Sportif de haut niveau en ski de fond, Gaël Epp a arrêté la compétition il y a trois ans, sans quitter pour autant le milieu de la glisse. Il n’avait alors que 22 ans mais sa passion pour le ski de fond lui a ouvert d’autres portes.
Celle de l’Équipe de France en particulier qu’il a rejoint comme technicien préparateur de skis. « J’ai fait deux saisons sur le circuit Europe et depuis cet hiver, j’ai intégré le circuit Coupe du Monde ». Une « promotion » qui ouvre un horizon plus vaste à ce garçon qui vient de fêter son 26eanniversaire… ce mardi.
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